[11 JUILLET 2020] Télérama — Élise Racque
[19 avril 2020] Télérama — Élise Racque
« Construite avec beaucoup d’équilibre, cette série alterne intelligemment récit à la première personne, souvenirs rejoués par des comédiens toujours justes, et interviews d’experts, d’adultes autistes et d’autres parents. Ces croisements d’expériences très concrètes – comme lorsqu’une autre mère explique que son fils, féru de chiffres, lui réclame régulièrement « un sandwich aux nombres » – permettent de faire le point sur les connaissances actuelles et les idées reçues autour de l’autisme, ne manquant pas de dénoncer une bonne fois pour toutes les erreurs culpabilisantes de l’approche psychanalytique, laquelle a longtemps prévalu. »
[14 JANVIER 2020] Le Figaro — Chloé Woitier
« Parmi les premières productions mises en ligne, «un décryptage sur la mort du général Qassem Soleimani, un autre sur la réforme des retraites, mais aussi une interview exclusive du rappeur Jul et des sujets liés au féminisme et à l’écologie», énumère Jeanne Boezec, en charge du projet chez le producteur de podcasts Paradiso. Si certains sujets seront exclusifs au format audio, d’autres seront des adaptations de vidéos déjà publiées par Brut. »
[13 octobre 2018] France Inter — Frédéric Pommier
« Sur le site LES JOURS, on parle aussi ce matin de la question du genre… Avec une série de Jeanne Boezec et Simon Lambert qui, pendant plusieurs mois, vont suivre le quotidien d’une bande de copains qui ne s’identifient ni au genre masculin, ni au genre féminin…
Camille, Clem, Gaëll, Jean-Loup, Junie, Léo, ne parlent pas pas d’eux en disant « ils » ou « elles » : ils ont opté pour « iels ».
I.E.L.S : ils sont les deux, à la fois ou alternativement filles et garçons… Ils ont la vingtaine, font des études, recherchent un job… Il y a quelques années, sans doute n’auraient-ils jamais osé parler… Aujourd’hui, ils assument leur identité multiple… Qu’ils parlent, qu’ils osent parler, là encore, c’est un phénomène de notre époque… »
[28 juillet 2018] Le Monde — Camille Langlade
« Chaque samedi, Les Jours proposent un podcast tiré de quelques-unes de leurs séries d’articles consacrées à des faits divers et autres tribulations policières. Les corbeaux de l’affaire Grégory, le meurtre non résolu de Cécile Bloch, ou l’histoire peu commune d’une prostituée proxénète... Jours de polar nous plonge dans un univers des plus sombres où tous les épisodes sont lus par des comédiennes et des comédiens, conférant au texte une dimension extrêmement réaliste et visuelle. »
[22 MAI 2018] Télérama — Benjamin Roure
« C’est horrible, mais le porno ça aide. On ne peut pas tout demander à nos parents. La dernière fois que j’en ai regardé un, c’était avec mon copain, juste pour comprendre comment on faisait un mouvement. » Lors d’une poignée de minutes montées serré, à peine enrobées de musique, Sarah, étudiante, évoque son rapport au sexe et à son corps. Recueillie par Jeanne Boezec, cette voix s’ajoute à celle d’autres jeunes femmes dans la série C’est l’amour à la fac, diffusée sur le site Les Jours. Mélissa croit un peu au prince charmant et espère le croiser sur Tinder – pratique quand on « cherche un peu d’attention masculine et de drague ». Carla, elle, est en couple depuis le lycée, et son petit cœur bat comme au premier jour. Même quand elle envisage que son copain, ou elle, aura un jour envie de coucher ailleurs. Trois filles d’aujourd’hui, simples, directes, équilibrées. Pour une série audio qu’il l’est tout autant. »
[11 JUILLET 2020] Télérama — Élise Racque
[19 avril 2020] Télérama — Élise Racque
« Construite avec beaucoup d’équilibre, cette série alterne intelligemment récit à la première personne, souvenirs rejoués par des comédiens toujours justes, et interviews d’experts, d’adultes autistes et d’autres parents. Ces croisements d’expériences très concrètes – comme lorsqu’une autre mère explique que son fils, féru de chiffres, lui réclame régulièrement « un sandwich aux nombres » – permettent de faire le point sur les connaissances actuelles et les idées reçues autour de l’autisme, ne manquant pas de dénoncer une bonne fois pour toutes les erreurs culpabilisantes de l’approche psychanalytique, laquelle a longtemps prévalu. »
[14 JANVIER 2020] Le Figaro — Chloé Woitier
« Parmi les premières productions mises en ligne, «un décryptage sur la mort du général Qassem Soleimani, un autre sur la réforme des retraites, mais aussi une interview exclusive du rappeur Jul et des sujets liés au féminisme et à l’écologie», énumère Jeanne Boezec, en charge du projet chez le producteur de podcasts Paradiso. Si certains sujets seront exclusifs au format audio, d’autres seront des adaptations de vidéos déjà publiées par Brut. »
[13 octobre 2018] France Inter — Frédéric Pommier
« Sur le site LES JOURS, on parle aussi ce matin de la question du genre… Avec une série de Jeanne Boezec et Simon Lambert qui, pendant plusieurs mois, vont suivre le quotidien d’une bande de copains qui ne s’identifient ni au genre masculin, ni au genre féminin…
Camille, Clem, Gaëll, Jean-Loup, Junie, Léo, ne parlent pas pas d’eux en disant « ils » ou « elles » : ils ont opté pour « iels ».
I.E.L.S : ils sont les deux, à la fois ou alternativement filles et garçons… Ils ont la vingtaine, font des études, recherchent un job… Il y a quelques années, sans doute n’auraient-ils jamais osé parler… Aujourd’hui, ils assument leur identité multiple… Qu’ils parlent, qu’ils osent parler, là encore, c’est un phénomène de notre époque… »
[28 juillet 2018] Le Monde — Camille Langlade
« Chaque samedi, Les Jours proposent un podcast tiré de quelques-unes de leurs séries d’articles consacrées à des faits divers et autres tribulations policières. Les corbeaux de l’affaire Grégory, le meurtre non résolu de Cécile Bloch, ou l’histoire peu commune d’une prostituée proxénète... Jours de polar nous plonge dans un univers des plus sombres où tous les épisodes sont lus par des comédiennes et des comédiens, conférant au texte une dimension extrêmement réaliste et visuelle. »
[22 MAI 2018] Télérama — Benjamin Roure
« C’est horrible, mais le porno ça aide. On ne peut pas tout demander à nos parents. La dernière fois que j’en ai regardé un, c’était avec mon copain, juste pour comprendre comment on faisait un mouvement. » Lors d’une poignée de minutes montées serré, à peine enrobées de musique, Sarah, étudiante, évoque son rapport au sexe et à son corps. Recueillie par Jeanne Boezec, cette voix s’ajoute à celle d’autres jeunes femmes dans la série C’est l’amour à la fac, diffusée sur le site Les Jours. Mélissa croit un peu au prince charmant et espère le croiser sur Tinder – pratique quand on « cherche un peu d’attention masculine et de drague ». Carla, elle, est en couple depuis le lycée, et son petit cœur bat comme au premier jour. Même quand elle envisage que son copain, ou elle, aura un jour envie de coucher ailleurs. Trois filles d’aujourd’hui, simples, directes, équilibrées. Pour une série audio qu’il l’est tout autant. »